En esthétique la » French Touch » à depuis longtemps fait la différence, jusqu’à s’imposer comme référence à travers le monde.
Le point avec le Docteur Christophe Desouches, chirurgien esthétique à Marseille.
La préoccupation de son corps intervient de plus en plus tôt, surtout chez la femme, tandis que les jeunes hommes se tournent vers des traitements visant la qualité de leur peau.
Le culte du corps traverse toutes les classes sociales et l’offre médicale cherche à se rendre accessible au plus grand nombre. Les classes moyennes – voir populaires – ont donc de plus en plus accès à la chirurgie esthétique, notamment grâce à des crédits ou au paiement étalé proposé par de nombreux praticiens.
La poitrine est de plus en plus mise à l’honneur s’accordant avec l’attente de la patiente s’accordant avec une belle paire de fesses, même si les critères de beauté ont évolué à partir des années 1990 en faveur d’un bonnet plus important.
Néanmoins, nous constatons depuis quelque temps que la taille des prothèses demandées par les patientes, en quête d’un résultat peu naturel, a quelque peu diminué. Mais d’autres opérations séduisent aussi de plus en plus comme la vaginoplastie (ou chirurgie de rajeunissement du vagin), surtout demandée par les femmes de plus de 40 ans.
L’accompagnement psychologique est important pour accompagner la patiente dans sa demande afin de déceler toute forme de dysmorphobie qui est la crainte obsessionnelle d’être laid, mal formé ou mal proportionné. Cela est souvent lié avec une mauvaise estime de soi…
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